Correction : Chapitre 01 page 04' -05

Les rumeurs allaient bon train à Asten depuis maintenant quelques jours, depuis que des prospectus avaient été retrouvés placardés aux quatre coins de la ville. Ce qui y était écrit ne laissait rien augurer de bon :
« Les démons d’Asmeth se sont réveillés pour s’allier au Mage Asnor, le mal en personne.
L’on raconte qu’il a réussi à plier Senos, le gardien des enfers, si terrible que même Satan le craint, et à le faire obéir.
Les orcs baveux sont en marche vers l’Ouest.
A chaque seconde leur armée grandit et prenant pied sur une grande partie du territoire d’Asmet, cette incroyable créature si belle et si résistante que la savoir parcourue par de tels monstres devrait vous révolter.
Asnor a déjà construit dix forteresses , chacune protégée par un suppôt de Senos, et une armée redoutable.
Peuple du Sud, derniers hommes libres, prenez garde à la Prophétie :
« Toute vie a une fin, la fin elle même à une fin, si le noir prime sur le blanc, alors, toutes les vies auront été futiles.
Le jour viendra ou le noir disputera la place du blanc, ce jour l’or et la descendance primeront sur le noir, où l’or sans les Amath, sans la lumière de l’innocence blanche de la femme ne saurait gagner. »
Souvenez-vous, et nous vaincrons !»
Ces placards étaient venus confirmer les soupçons qui s’élevaient en haut lieu depuis les disparitions répétées d’émissaires envoyés à l’est de la passe de Gombourg.
Mais l’espoir revenait, quiconque prenait le temps, en cet âge perturbé, de s’assoir devant une bonne chope, pouvait entendre les piliers de bar raconter que tout n’était pas perdu ; un groupe d’anciens mercenaires de renom, qui s’était dissolu des années auparavant était en train de se reformer. Devant l’absence de réaction des gouvernants d’Asten, « la Belle l’Ouest », ils s’étaient emparés des cœurs fervents des hommes pour qui rien ne comptait plus que de bouter les orcs hors de leurs frontières.
Une armée se formait.

En effet, a des miles de là, prés de la ligne Martiale, Luthar se tenait sous sa tente, où il discutait avec Luxeron, son ami, et ancien compagnon d’arme, du temps où leur vie était dédiée à leur épée, où ils faisaient couler le sang comme mercenaire.
De l’eau avait coulé sous les ponts mais les deux camarades le sentaient bien, il était temps de rendosser la cuirasse et de dégainer l’épée ; demain ne se ferait pas attendre, avec son lot de mauvaises surprises.
Luxeron rompit le silence qui s’était installé :
On dirait que ta publicité sur les murs d’Asten a porté ses fruits ! Nos rangs ont considérablement grandit depuis.
Luthar acquiesça en souriant, puis se leva :
Il est temps, maintenant !
Conscient d’être observée par la foule qui s’était amassée autour de la place centrale du petit village où il avait élu domicile, il prit une démarche posée, mesurée, qui inspirait la confiance. Il se dirigea vers une petite estrade qui avait été érigée là à son intention :
J’ai écouté les rumeurs. Vous semblez tous partisans de réunir la plus grosse armée possible. Mais ce n’est pas ainsi que je vois les choses, nous aurons besoin aussi bien de vous à l’arrière qu’au front lors des assauts, c’est pourquoi je veux former une troupe d’élite. Seuls les guerriers aguerris pourront m’accompagner. Vous serez mes Amath. Je demanderai à ceux qui se sentent concernés de se mettre demain matin devant l’hôtel de ville, ils y recevront mes tenues de combat et ils devront passer un test de force.
La foule en liesse criait son nom, galvanisée par ses paroles, sa voix claire et ses yeux bleus et perçants : « Luthar ! »
Cristos arriva en courant. Il observa Luthar sans rien faire.
Il se souvenait vaguement que Luthar et lui avaient été amis, frères d’armes, même. Non, mais à quoi pensait-il ? Il avait une mission !
Alors que Luthar descendait de l’estrade, il s’adressa à lui :
Ô, grand Luthar pourquoi ne le prendrais tu pas tout seul ce château ? Tu te dis puissant mais je suis sur qu’il n’en est rien ! Tes vantardises ont atteint mes oreilles jusqu’à Asten.
Luthar avait reconnu Cristos, il était à ses côtés lors des nombreuses batailles qu’il avait mené au côté de ses mercenaires.
Alors vas-y, comment comptes-tu prendre ce château? Je suis si impatient de connaitre ta réponse.
Un soldat commença à s’énerver :
Ecoute drow, si tu es venu ici pour te battre avec notre dieu, repart en enfer.
Le soldat n’eu pas le temps de commencer une autre phrase qu’il se fit embroché par l’elfe noir.
Je n’ai pas peur de l’enfer et mon peuple n’y vit pas ! Maintenant que ce soit bien clair, celui qui me fera un seul reproche se verra décapité par mes soins. Que dites-vous maintenant?
Luthar fut le premier à dire quelque chose :
Tu as changé depuis que tu es partit à la recherche des tiens, du côté de la passe de Gombourg, que s’y est il passé ? Je peux t’aider.

Voila: La correction se mettra juste en poste isi en dessou et seras récupéré par les Admin ^^

Jess tu peux commencé ^^'

Les rumeurs allaient de bon train à Asten depuis que, quelques jours auparavant, des prospectus avaient été retrouvés placardés aux quatre coins de la ville. Ce qui y était indiqué ne laissait rien présager de bon :
« Les démons d’Antok se sont réveillés pour s’allier au Mage Asnor, le mal en personne.
L’on raconte qu’il a réussi à plier Senos, le gardien des enfers, si terrible que même Satan le craint, et à le faire obéir.
Les orcs baveux sont en marche vers l’Ouest.
A chaque seconde leur armée grandit et prend pied sur une grande partie du territoire d’Asmeth, notre territoire si beau et résistant que le savoir parcouru par de tels monstres devrait vous révolter.
Asnor a déjà construit dix forteresses, elles sont toutes protégées par un soutiens de Senos et une armée puissante.
Peuple du Sud, derniers hommes libres, prenez garde à la Prophétie :
« Toute vie a une fin, la fin elle même à une fin, si le noir prime sur le blanc, alors, toutes les vies auront été futiles.
Le jour viendra ou le noir disputera la place du blanc, ce jour l’or et la descendance primeront sur le noir, où l’or sans les Amath, sans la lumière de l’innocence blanche de la femme ne saurait gagner. » Souvenez-vous, et nous vaincrons !»
Ces placards étaient venus confirmer les soupçons qui s’élevaient en haut lieu depuis les disparitions répétées d’émissaires envoyés à l’est de la passe de Gombourg.
Mais l’espoir revenait, quiconque prenait le temps, en cet âge perturbé, de s’assoir devant une bonne chope, pouvait entendre les piliers de bar raconter que tout n’était pas perdu ; un groupe d’anciens mercenaires de renom, qui s’était dissolu des années auparavant était en train de se reformer. Devant l’absence de réaction des gouvernants d’Asten, « la Belle l’Ouest », ils s’étaient emparés des cœurs fervents des hommes pour qui rien ne comptait plus que d’envoyer les orcs hors de leurs frontières.
Une armée se formait.

En effet, a des miles de là, prés de la ligne Martiale, Luthar se tenait sous sa tente, où il discutait avec Luxeron, son ami, et ancien compagnon d’arme, du temps où leur vie était dédiée à leur épée, où ils faisaient couler le sang comme mercenaire.
De l’eau avait coulé sous les ponts mais les deux camarades le sentait bien, il était temps de rendosser la cuirasse et de dégainer l’épée ; demain ne se ferait pas attendre, avec son lot de mauvaises surprises.
Luxeron rompit le silence qui s’était installé :

- On dirait que ta publicité sur les murs d’Asten a porté ses fruits ! Nos rangs ont considérablement grandit depuis.

Luthar acquiesça en souriant, puis se leva :

- Il est temps, maintenant !

Conscient d’être observé par la foule qui s’était amassée autour de la place centrale du petit village où il avait élu domicile, il prit une démarche posée, mesurée, qui inspirait la confiance. Il se dirigea vers une petite estrade qui avait été érigée là à son intention :

- J’ai écouté les rumeurs. Vous semblez tous partants pour réunir la plus grosse armée possible. Mais ce n’est pas ainsi que je vois les choses, nous aurons besoin aussi bien de vous à l’arrière qu’au front lors des assauts, c’est pourquoi je veux former une troupe d’élite. Seuls les guerriers aguerris pourront m’accompagner. Vous serez mes Amath. Je demanderai à ceux qui se sentent concernés de se mettre demain matin devant l’hôtel de ville, ils y recevront mes tenues de combat et ils devront passer un test de force.

La foule en liesse criait son nom, galvanisée par ses paroles, sa voix claire et ses yeux bleus et perçants : « Luthar ! »
Cristos arriva en courant. Il observa Luthar sans rien faire.
Il se souvenait vaguement que Luthar et lui avaient été amis, frères d’armes, même. Non, mais à quoi pensait-il ? Il avait une mission !
Alors que Luthar descendait de l’estrade, il s’adressa à lui :

- Ô, grand Luthar pourquoi ne le prendrais tu pas tout seul ce château ? Tu te dis puissant mais je suis sur qu’il n’en est rien ! Tes vantardises ont atteint mes oreilles jusqu’à Asten.

Luthar avait reconnu Cristos, il était à ses côtés lors des nombreuses batailles qu’il avait menées au côté de ses mercenaires.

- Alors , comment comptes-tu prendre ce château? Je suis si impatient de connaitre ta réponse.

Un soldat commença à s’énerver :

- Ecoute drow, si tu es venu ici pour contredire notre chef, repars en enfer.

Le soldat n’eut pas le temps de commencer une autre phrase qu’il se fit embroché par l’elfe noir.

- Je n’ai pas peur de l’enfer et mon peuple n’y vit pas ! Maintenant que ce soit bien clair, ceux qui s'opposeront a moi, seront raccourcis... d'une tête.

Un long silence s'ensuivit, Luthar fut le premier à le briser :

- Tu as changé depuis que tu es partit à la recherche de ton peuple, du côté de la passe de Gombourg, que s’y est il passé ? Je peux t’aider.